Comment ça marche ? Rencontre avec Virginie Delrieu, lauréate de l’édition toulousaine précédente des Trophées !
Alors que les campagnes candidates à l’édition 2024 des Trophées de la Com Sud-Ouest dans 8 catégories attendent votre vote en ligne, c’est l’occasion de zoomer sur ce Prix du Public et de rencontrer une candidate qui l’a vécu en live lors de la précédente édition : Virginie Delrieu (Agence 636).
On rappelle le processus : pré-sélection via le vote en ligne (auquel tout le monde peut participer et dispose de 3 votes), puis sélection finale en live in situ le soir de la cérémonie par applaudimètre.
Tout d’abord, Virginie rappelle-nous qui tu es et comment tu t’es retrouvée en première ligne pour défendre le titre lors de l’édition 2022 ?
Je suis consultante et formatrice en réseaux sociaux au sein de la SCOP 636, composée des Agences Silgoweb, spécialisée dans le référencement de site web et Agence 636, spécialisée dans l’accompagnement et la formation sur les réseaux sociaux. Dans le groupe, nous étions à l’époque 5 associés. Nous avions à coeur le fait que notre ambassadeur soit le reflet de notre fonctionnement d’agence en SCOP. Il nous paraissait donc important que ce ne soit ni la présidente actuelle, ni le fondateur du groupe qui prenne la parole. Étant très à l’aise à l’oral et sur scène, je me suis portée volontaire et j’ai été soutenue par mes associés.
Que penses-tu de cette initiative d’un Prix spécial décerné par le Public, et de la manière dont elle se déroule ?
Je trouve que cette initiative donne l’occasion à des agences de plus petite envergure de tenter leur chance aux Trophées de la Com. Sans ce prix, nous n’aurions pas fait partie des lauréats, qui étaient plutôt des agences 360. Le format sort du lot et permet de dynamiser la cérémonie. Tout le monde se prête au jeu de l’applaudimètre et donne de la voix pour défendre sa campagne préférée.
Comment as-tu vécu la pression en tant qu’ambassadrice sur scène de l’Agence 636 pour pitcher la campagne en 1 minute chrono et finalement décrocher la victoire ?
A côté de mon travail à l’Agence 636, je suis danseuse dans une compagnie professionnelle, j’ai donc l’habitude de performer devant un public. A vrai dire, j’ai ressenti plus d’excitation que de pression. Néanmoins, comme pour un spectacle de danse, j’ai favorisé les répétitions jusqu’à maîtriser le pitch sur le bout des doigts, c’est ce qui m’a permis d’être à l’aise sur scène. J’ai été également soutenue à 100% par mon équipe qui croyait en ma capacité à présenter notre campagne en 1 min. Je n’avais aucune pression de leur part. On a plutôt pris ça comme un défi à relever, et surtout, on a travaillé en équipe à la préparation du pitch. J’étais seule sur scène, mais le pitch était bien le fruit d’une réflexion de groupe !
Un conseil à partager aux futurs nominés ?
Selon moi, ce qui a fait la différence sur scène c’est la préparation. Étant donné que c’était la première édition, les candidats ne savaient pas vraiment à quoi s’attendre et la plupart sont venus présenter leur campagne sans avoir un pitch précis à dérouler. Pour mon discours, nous avons créé un storytelling et avons choisi avec soin chaque mot pour embarquer l’audience dans cette histoire. Si je peux vous donner un conseil pour vous démarquer, c’est de bien préparer votre pitch et de vous entraîner jusqu’à ce que vous le maîtrisiez parfaitement avec le ton et la gestuelle adéquate.